Je pars de Monte Gordo vendredi le 23 novembre, après y avoir passé 12 jours. Je me dirige vers Oaxaca. Le premier soir, je couche sur le stationnement d’un Pemex et le lendemain, je reprends la route. Peu de temps après, je vois deux indications pour Oaxaca, une en prenant une route vers la gauche et l’autre, tout droit. Mon GPS m’indique la route de gauche et je me fie à ce dernier. Je n’aurais pas du, je me rallonge de 100 Km et cette route est une route de montagne très sinueuse et je monte jusqu’à 3,000 mètres d’altitude.
J’ai quelques problèmes avec ma transmission qui chauffe, je dois m’arrêter à 2 reprises pour la laisser refroidir. Pour parcourir les 225 Km, j’ai pris 6 heures, soit une moyenne de 37.5 Km heure.
Toutefois, les paysages sont magnifiques, comme vous pouvez constater sur les photos qui suivent.


Je m’installe dans un camping en pleine ville de Oaxaca. De là, je prends un taxi pour visiter le site archéologique de Monte Alban. Il s’agit d’une ancienne capitale Zapotèque qui a été construite 400 mètres au dessus de la vallée, ce qui fait qu’au sommet, on a une vue à 360 degrés.


Le début de la construction de ce site remonte à 500 ans avant J-C. Les archéologues peuvent dire cela à partir d’hiéroglyphes trouvés sur la pyramide. La cité a connu son apogée de 300 à 700 et la population a atteint 25,000 personnes. Entre 700 et 950, la ville a été abandonnée et a tombé en ruines.




La ville d’Oaxaca se trouve dans une vallée fertile à 1,500 mètres d’altitude dans la Sierra Madre du Sud. On dit de cette ville qu’elle est une des villes coloniales les mieux préservées du pays. Fondée en 1529, dans une région autrefois dominée par les Mixtèques et les Zapotèques, la colonie espagnole devint rapidement la plus grande ville du Sud. Aujourd’hui, c’est un grand centre commerçant et industriel.




Le centro est très agréable à parcourir, plusieurs rues sont piétonnières et on y retrouve les principaux édifices coloniaux, tels l’église Santo Domingo, dont on dit que si on visite une seule église d’Oaxaca, ce doit être celle-là. C’est une œuvre d’art. Elle a été commencée en 1572 et elle fut achevée plus de 200 ans plus tard.. On y retrouve un mélange de styles gothique, roman, baroque et mauresque.


Je quitte Oaxaca mercredi le 28 novembre, et me dirige vers la côte Sud, pour me rendre à Zipolite.


Je m’installe dans un camping en pleine ville de Oaxaca. De là, je prends un taxi pour visiter le site archéologique de Monte Alban. Il s’agit d’une ancienne capitale Zapotèque qui a été construite 400 mètres au dessus de la vallée, ce qui fait qu’au sommet, on a une vue à 360 degrés.


Le début de la construction de ce site remonte à 500 ans avant J-C. Les archéologues peuvent dire cela à partir d’hiéroglyphes trouvés sur la pyramide. La cité a connu son apogée de 300 à 700 et la population a atteint 25,000 personnes. Entre 700 et 950, la ville a été abandonnée et a tombé en ruines.




La ville d’Oaxaca se trouve dans une vallée fertile à 1,500 mètres d’altitude dans la Sierra Madre du Sud. On dit de cette ville qu’elle est une des villes coloniales les mieux préservées du pays. Fondée en 1529, dans une région autrefois dominée par les Mixtèques et les Zapotèques, la colonie espagnole devint rapidement la plus grande ville du Sud. Aujourd’hui, c’est un grand centre commerçant et industriel.




Le centro est très agréable à parcourir, plusieurs rues sont piétonnières et on y retrouve les principaux édifices coloniaux, tels l’église Santo Domingo, dont on dit que si on visite une seule église d’Oaxaca, ce doit être celle-là. C’est une œuvre d’art. Elle a été commencée en 1572 et elle fut achevée plus de 200 ans plus tard.. On y retrouve un mélange de styles gothique, roman, baroque et mauresque.


Je quitte Oaxaca mercredi le 28 novembre, et me dirige vers la côte Sud, pour me rendre à Zipolite.